Premières expériences et engrenages : Chapitre 115 : Les photos

Catégories : CBT Ballbusting Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 1 an

Chapitre 115 : Les photos

  • J’aurais dû monter avec des habits, répondis-je faussement embêté, sachant l’inutilité, voire le sarcasme de ma réponse.

  • Des photos de nus, reprit Christian, hermétique à mon humour.

  • J’espère qu’au moins il vous fait bien l’amour, plaignis-je Vlad, devant ce manque évident d’intelligence.

Ce dernier sourit. Christian ne comprenait même pas ma remarque. Ils me conduisirent dans la chambre à coucher. Tout y avait déjà été préparé. Deux lampes, des projecteurs au vu de l’intensité lumineuse qu’ils dégageaient, dirigeaient leur éclairage vers le lit couvert d’un drap de satin noir. Il insisterait judicieusement sur la blancheur de mon corps, pensai-je en connaisseur.

  • Tu n’as jamais fait de photos ?

  • Des nus ? répondis-je.

  • En général.

  • Non. Aurai-je raté une carrière de top-model ? dis-je ahuri.

Vlad rit de ma blague. Christian ne fit aucun mouvement. C’était étrange comme impression. J’étais mal à l’aise, pire que lorsque je le craignais uniquement.

  • Allonge-toi sur le lit ! m’ordonna-t-il sans excès.

Je m’exécutai.

  • Prends une position sexy, me demanda-t-il plus doucereusement.

Tout nu, avec juste ma cage de chasteté, je ne savais pas comment m’y prendre. Je repensais à la danse sexy réalisée dans la boite de Basile et me laissai ensuite guider par ses conseils. Il me dirigea de plus en plus, de positions en positions, allongé sur le dos, genoux écartés, sur le côté comme les pin-up des années soixante, debout, jambes écartées, penché tête en bas avec mes mains étirant mes fesses, pour écarter mon trou du cul. Des photos de plus en plus humiliantes, de face comme de dos, montrant mon visage, dont je vins finalement à en regretter l’écarteur qui m’en déformait les traits.

Si deux jours auparavant, je m’inquiétais pour quelques photos prises à la sauvette par un téléphone, au travers d’une vitre et d’un rideau partiellement occultant, que devrais-je alors ressentir aujourd’hui ? Pourtant, étrangement, je n’y trouvais rien à redire. Peut-être que la crainte de tout ce qui ne m’arrivait pas, trouvait quelques réconforts à ce jeu. Lassie me poussait à m’ouvrir un peu plus. Je commençais à prendre des initiatives. J’alternais mes sourires. Parfois, je soutenais une attitude plus soumise.

Je vis alors la bite du gorille se dresser sous son survêtement. Lassie me pressait de faire encore mieux.

  • Tu n’as pas d’accessoire ? demandai-je à Vlad, alors que j’étais à court d’idées.

  • Des trucs qui pourraient te plaire, en effet. Va me chercher mon coffre, demanda-t-il à Christian.

Ce dernier revint, trainant un coffre à roulette qui devait faire son poids de plus d’un mètre de long sur soixante centimètres de large et probablement presqu’autant de haut, que je n’avais pourtant pas vu dans la pièce. Il l’ouvrit. Le couvercle dans ma direction, relevé verticalement, m’empêchait d’en distinguer le contenu.

  • Commençons par cela, dit Vlad en sortant un panier d’osier contenant des pinces à linges des plus classiques.

  • Rien de mieux, estimai-je, laissant Lassie les titiller.

  • Nous avons encore beaucoup de temps devant nous, dit-il en me montrant la pendule.

Il était à peine onze heures passées.

  • Accroche-les-toi ! m’ordonna-t-il. Pas trop vite.

  • Où ?

  • Où tu veux, surprends-moi !

Je décidai de rester classique. J’en mis une dizaine sur mes couilles et autant sur ma poitrine laissant mes tétons libres dans l’espoir d’autre chose plus croustillant. Cela me prit longtemps car il tenait à prendre des photos après chacune des poses.

  • Mets celles-là sur tes tétons, me dit-il ensuite, comme je le supposais, en sortant du coffre et en me tendant deux pinces de métal aux molettes réglables et reliées entre-elles.

Je les fixai simplement avec à peine plus de pression que celles à linge.

  • Serre-les maintenant ! Encore plus !

Quand je commençai à tourner la mollette, je ressentis une douleur réelle. Elle était causée par la surface gaufrée et complémentaire des deux zones de contact. Je ne doutais pas qu’il la captât sur les photos en gros plan de mon visage prises en même temps.

Il me tendit ensuite un plug pourvu d’un bouton interrupteur à l’arrière, dont je comprenais l’utilisation en constatant son poids et sa capacité à être pourvue d’une pile.

  • Mets-toi-le dans le cul ! continua-t-il de me commander, tout en poursuivant ses photos comme un vrai professionnel, ce qu’il pouvait être au vu de son matériel.

  • Vous avez de la vaseline ?

  • A sec ! répondit le gorille.

  • Mets-cela dessus, dit Vlad en me jetant un préservatif. J’ouvrai le sachet et emmancha le caoutchouc sur le plug, tout en continuant à être mitraillé par l’appareil. Il faisait chaud sous les projecteurs et je transpirai. Cela coulait jusqu’à sur mes doigts qui glissaient en essayant de l’enfiler.

  • Faudra que t’apprennes à mieux les mettre ma pucelle, poursuivait le gorille, dont les commentaires graveleux trompaient son ennui.

  • Allez, enfonce-le maintenant.

Jambes écartées, assis sur le rebord du lit, Christian pouvait réaliser des gros plans de mon anus, s’élargissant de plus en plus, mon visage en arrière-plan.

  • Tu es parfait, lança Vlad, alternant quelques compliments qu’il voulait, à raison, encourageant.

Le plug était maintenant totalement enfoncé et mes muscles fessiers s’étaient resserrés dans la zone de diamètre à peine réduit avant son extrémité externe et dont la fonction devait l’empêcher de ressortir sans une poussée volontaire. Lassie était maintenant aux anges. Avec ma main libre qu’elle portait à mes lèvres de façon suggestive, les mouvements, qu’elle donnait à ma bouche pour l’arrondir, l’entrouvrir, leur lançaient une invitation.

  • Je peux enlever les pinces des tétons, demandai-je, tandis que celles-ci devenaient trop douloureuses avec le temps.

  • Oui, dit Vlad, mais en tirant dessus.

Je fis semblant de tirer sans les écarter, mais la douleur était telle et la pression si forte que je ne pus m’empêcher de tricher et de tourner discrètement la molette pour les entrouvrir.

Vlad et Christian ne semblait regarder que mon visage, tandis que j’entendais le bruit distinctif de plusieurs photos numériques qui viendraient compléter mon album.

  • Active le plug ! me demanda Vlad.

Il ne semblait ni avoir aucune vitesse, ni aucun réglage ; aucun variateur pour en régler la puissance et commander à ce tube de plastique, qui je l’avoue était entré trop facilement selon mon opinion. Les vibrations furent immédiatement intenses, brutales, virulentes. Cela ne ressemblait pas aux va-et-vient destructifs qui m’irritaient la peau et appuyaient en fréquence dans la zone érogène de mon cul. C’était plus comme une décharge électrique qui n’en finissait pas, m’obligeant à me trémousser pour en absorber furtivement les effets.

  • Bras en l’air ! demanda Vlad alors qu’il voyait en moi l’envie irrésistible de me jeter sur cet interrupteur pour le couper.

Je m’exécutai.

  • Plus haut.

Je m’exécutai à nouveau, m’allongeant le corps, étrécissant mon conduit anal, renforçant la sensation. Je vis que je n’étais pas le seul à qui cela faisait de l’effet. Le survêtement de Christian était prêt à se fendre devant la bosse qui avait grossi.

  • Serre tes chevilles et tes genoux les uns contre les autres.

A nouveau je m’exécutai, à nouveau les sensations s’intensifièrent entrainant mon corps dans des mouvements frémissants presque incontrôlables.

  • Serre tes fesses maintenant !

A nouveau je m’exécutai, presque inconscient de ce que cela pouvait encore déclencher. Lassie me contrôlait totalement, tous mes mouvements, heureuse et jouissive de se trouver dans une telle situation. Se rappelant que Vlad lui avait dit qu’il n’y aurait aucune relation cette nuit, elle asticotait Christian de regards qui ne prêtaient pas à confusion.

Maintenant c’était juste impossible de contrôler quoi que ce soit. L’intensité continu du plug anéantissait mes dernières défenses. Ma bite, gonflée dans la cage, frémissait en rythme jusqu’à ce que, sans que je ne m’y attende ou ne pensait être possible, du sperme coula de mon sexe rabougri et replié et dégoulina sur la cage de chasteté.

Vlad ne rata rien de cela et y consacra de nombreux clichés.

  • Récupère ton sperme avec ton doigt. Montre-le à l’objectif. Suce-le maintenant !

Il continuait à me guider pour ce qui ressemblerait plus à un roman photo qu’à un album. De nouvelles positions plus osées, plus expressives, laissait Lassie, plus naturelle et spontanée que moi, se déployer et prendre l’autonomie suffisante à proposer les siennes.

  • On fait une pause, dit-il au bout d’une nouvelle heure. Tu peux couper le plug, mais garde-le en toi.

Je ne me fis pas prier. Il me proposa de m’asseoir. J’obéis, oubliant déjà ce jouet qui en profita pour grapiller encore un bon centimètre, me laissant échapper un cri. C’est quand il partit chercher le verre d’eau que je vis la tache sur le survêt du gorille.

  • Ejaculation précoce ? lui demanda Lassie, imprudente.

  • Moque-toi. Sais-tu que c’est moi qui préparerai ton prochain jeu en janvier ? J’ai tellement d’idées que je ne sais pas comment tout faire tenir en quatre heures.

  • Moi, je ne sais même pas comment deux idées peuvent tenir ensemble dans ton neurone, poursuivait Lassie, le harcelant.

Elle trouvait qu’ils n’allaient pas assez loin, qu’on n’allait pas finir ce weekend comme cela, avec quelques clichés. Le gorille se leva et me mit une gifle assurément mémorable. Oui, me criait Lassie.

  • Non ! nous interrompit Vlad, revenant avec le verre. A la fin de la séance. Je ne veux pas que cinq doigts rouges viennent gâcher les photos, ajouta-t-il pragmatiquement.

  • Tu perds rien pour attendre.

  • Il faudra lui rappeler. Son cerveau de poisson rouge lui aura fait oublier d’ici un ou deux tours de bocal, poursuivait Lassie qui, prenant le contrôle de la fin de cette soirée, voulait recevoir sa correction.

La fureur escomptée grondait en lui. Il me montra sa paluche, plus grosse que ma tête. Christian se trompait. Il n’y avait pas de place sur mon visage pour y imprimer cinq de ses doigts.

Vlad et Christian discutèrent en murmurant. La seconde partie ne sera pas comme ils l’avaient prévu initialement. Je bus mon verre d’eau tant que j’y avais droit. La pause était terminée.

Sous prétexte des photos, il me fit remettre cordon et clé autour du cou avant que Christian ne me menotte, bras en l’air et les fixe à des chaînes à un crochet au plafond au-dessus du lit.

  • Tu as raison, me dit Vlad. Il n’attendra pas une heure avant de jouer. On va prendre des photos de vous deux. Allume-lui le plug et remet les pinces et cette fois serre-les fort, commanda-t-il avant de fouiller dans son coffre.

Lassie avait gagnée.

nous devrions tous avoir une lassie en nous
La suite sur https://fessestivites.com/recit/199703
Publicité en cours de chargement